Timeless Legend
Synchronized

L’un des grands héros méconnus du saxophone : Harold Vick a travaillé avec des musiciens légendaires comme l'organiste Jack McDuff, Jimmy McGriff, Big John Patton et Larry Young. Il jouait aussi avec Walter Bishop Jr. et a également travaillé avec Philly Joe Jones, Howard McGhee, Donald Byrd, Ray Charles et les monstrueux Dizzy Gillespie, King Curtis. Sans oublié de 1970 à 1974 avec la reine de la soul Aretha Franklin.De 1971 à 1973 Il joue dans le groupe de jazz-rock de Jack DeJohnette, « Compost", enregistrant avec eux des albums. En 1972 il enregistre cet album, c’est probablement la raison pour laquelle il est sous le pseudonyme de « Sir Edward » et la liste des musiciens est bien un signe de noblesse, dont le bassiste Wilbur "Bad" Bascomb, Jumma Santos sur les percussions et les vibrations d’Omar Clay ce qui en fait un album de Soul Jazz de haute couture !!!La musique est un mélange funky de certains des grands airs de Soul de l’époque, avec des versions de Donny Hathaway et The Stylistics et un clin d’œil aux styles CTI Records avec une version de "People Make The World Go Round" Avec des copies originales qui changent maintenant de mains pour des sommes à 3 chiffres, Jazz Room Records est heureux de présenter la première réédition de Sir Edward (Harold Vick) «The Power Of Feeling ».

Deep Funk Instrumental side B

"DECADE", the sixth album by Calibro 35, the legendary cinematic funk combo sampled by Dr. Dre and Jay-Z, gets a reissue on ltd edition Crystal Yellow vinyl and digital "deluxe" edition with bonus tracks

Le pianiste et leader vocal né à Accra, ROB, n’a sorti que quelques albums en petites quantités, mais deux d’entre eux figurent parmi les disques les plus recherchés de l’Afrique des années 70.Alors, que savons-nous? Après avoir appris son métier au Bénin et joué avec l’Orchestre Poly-Rythmo de Cotonou, ROB est retourné à Accra pour écrire ses propre chanson et trouver un son. Accro au Funk entraînant et à la Soul brute de stars telles que James Brown et Otis Redding, il imitait souvent ses héros sur le piano de son père pendant les vacances scolaires.La premiere chanson de l’album donne le ton avec un rythme à la JBs, ROB presque chamanique avec sa voix clairsemée mais imposante. L’orgue et la guitare wahwah nous font tournoyer avant que les trompettes impérieuses ne nous ramènent.Et quelle meilleure façon de clôturer cet ensemble qu’avec “More”, balayé par un question-réponse entre Rob et ses choristes alors qu’un synthé “Blow Your Head” éclate et que les cuivres explosent. Bons moments garantis.Comme il le dit lui-même, « la musique funky est dans mon sang. Ce que vous entendez est la révélation de mon esprit ».No one sounds like Rob, because there is no one like Rob.Présenté dans une réplique de la pochette et avec un obi stripÉdition vinyle rouge.1977 Classic funk ouest-africain fortement influencé par James Brown.