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Reality
REALITY

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Artists

Reality

Labels

Jazzman

Catno

Formats

1x Vinyl LP

Release date

May 27, 2022

Si Il y a bien un label pour qui les collectionneurs de vinyles sont impatients de connaître les prochaines sorties dans la categorie « Holy Grail", c’est bien JAZZMAN Records ! Dans la recherche de trésor oublié discographique des années 70, Gérald le fondateur du label créer il y a plus de 20 ans, nous offre la possibilité d’écouter des disques sans vider son compte en banque.

Jazzman as déjà effectuer des sorties d’albums qui dans les années 70 n’ont pas eux la notoriété espérée à savoir ceux de "Sounds of the City Experience" et "Ricardo Marrero ».
Aujourd’hui c’est avec une grande satisfaction que le label est fier de présenter l'album "Disco Party » du groupe « Reality », pour la toute première fois en accord avec les membres survivants du groupe. Peut-être la plus obscure sortie du catalogue de TSG records, "Disco Party" n'est pas du tout "disco", d'ailleurs c'est une excursion complète dans le funk et le disco-jazz du milieu des années 70, interprétée par un groupe de musiciens experts à l'apogée de leurs arts. Enregistré pendant une longue session à New York, jusqu'à présent, le chef d'orchestre Dr. Otto Gomez et le reste de son équipe n’avaient jamais entendu les enregistrements qu'ils avaient faits il y a près de 50 ans.
En effet, aucun membre du groupe ne savait même que leur album était sorti !

Media: Mi
Sleeve: M

27€*

*Taxes included, shipping price excluded

Sealed / limited edition 1500 copies & tip-on US style sleeve *Download card inside

1

Reality

6:67

2

Road

6:40

3

Disco Party (Let's Have A)

3:32

4

Welcome

4:16

5

Movin' & Groovin'

6:31

6

Let's A Party People

5:16

7

You Keep Me Holdin' On

5:41

8

Clap & Hustle

5:24

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Four Flies est ravi de présenter une gâterie super juteuse pour tous les passionnés de vinyle de 7 pouces : le premier 45 single à jamais présenter des morceaux du chef-d’œuvre de Giuliano Sorgini Zoo Folle. Pour assurer un maximum de plaisir DJing, nous avons choisi deux des morceaux les plus groovy de la session d’enregistrement originale, jamaisavant d’être publié dans ce format.Le numéro funk psychédélique « Mad Town »,sur la face A, vous entraîne avec ses ruptures de batterie infectieuses et la flûte rapide mais hypnotique de Nino Rapicavoli. « Ultima Caccia », sur la face B, est une pure félicité afro-tribale, avec des percussions de Sorgini lui-même et des percussions massives funky delégendaire joueur de session Enzo Restuccia.Si vous voulez un as dans votre manche de DJing, ne cherchez pas plus loin.
Il s’appelle Roberto De Melo Santos mais pour des raisons artistiques il s’est fait surnommer Bob Di Melo puis, tout simplement, Di Melo. Né en 1949 à Recife, il est le fils d’Artur, un violoniste et de Gabriela, une chanteuse. « J’ai commencé la musique très tôt, raconte-t-il. « J’avais treize ans quand j’ai écrit ma première composition. Je peignais. Je chantais en m’accompagnant à la guitare. Après la messe, je faisais des concerts improvisés avec des amis. » Trois ans plus tard, il met pour la première fois les pieds à Sao Paulo, en compagnie de Vanderlei, l’organiste du célèbre chanteur Roberto Carlos. De retour à Recife, il joue dans une pièce de théâtre « Arame Farpado no Continente Perdido ». Le destin frappe alors sous la forme d’une rencontre avec Jorge Ben Jor. En cette année 1968, c’est la star du moment. Jorge Ben lui donne la carte de visite de son manager Roberto Colossi. « Je suis allé le voir à Sao Paulo. Roberto, qui s’occupait aussi de Chico Buarque de Holanda et de Wanderley Cardoso, est devenu mon parrain. Malheureusement, il est tombé malade. Il est mort prématurément. Je n’avais pas le choix. J’ai commencé à faire des concerts la nuit dans les bars de Sao Paulo. »Di Melo se nourrit aussi bien des musiques de Jorge Ben et Gilberto Gil, que des « yankees » James Brown, Elvis Presley, Jimi Hendrix, Paul Anka comme des genres musicaux de sa région, le Nordeste, comme le forro de Luiz Gonzaga ou de Jackson do Pandeiro. Un soir, au club le Jogral il participe à un concours organisé par la chanteuse Alaide Costa : « A cette occasion, le directeur d’EMI Odeon Moacir Meneghini Machado était présent. Il a beaucoup aimé ma musique et il m’a fait signer un contrat. » L’album Di Melo paraît en 1975, un classique disco funk influencé par le terroir du Nordeste, gravé en studio avec des musiciens chevronnés comme le génial claviériste albinos Hermeto Pascoal, également originaire de Recife, Heraldo Dumont au violon ou encore Claudio Beltrame à la basse électrique. Le processus de composition du morceau phare de l’album est un poème en soi. « Kilario, c’est une chanson particulière parce que c’était après une soirée arrosée. J’étais saoul. J’ai pris le Shinkansen, le TGV japonais. Je me suis retrouvé en train de planer dans un petit village que je ne connaissais pas. J’avais la nostalgie du pays. Le soleil était en train de se lever. Au Brésil, pour dire que la journée commence on a une expression « clareou o dia », mais comme j’étais éméché j’ai dit kilario au lieu de clareou. »C’est aussi au pays du soleil levant qu’il a composé « Minha Estrela », mon étoile. Sur les autres chansons écrites à Sao Paulo, comme « A vida em seus métodos diz calma » il parle de positivité. « Se o mundo acabasse em mel » est même un hymne à la « suavité ». « On devrait avoir un monde de miel, plutôt que d’être aigri avec du fiel »/ Quant à « Pernalonga », c’est une chanson tirée d’une anecdote vécue au Jogral qui ne manque pas de piquant : « Un percussionniste et joueur de berimbau, responsable de la programmation du club était jaloux de moi parce que quand il jouait il n’y avait pas grand monde. Moi, je remplissais la salle. Il faisait exprès de changer mes horaires. Les gens préféraient quand même me voir. La patronne, Alaide Costa, a dit au gars qu’il ne pouvait pas faire ça. Entre-temps, je suis allé au cinéma voir « Blow up ». Et j’ai écrit cette chanson sur ce gars qui m’embêtait. Ça a fini par une bagarre entre lui et moi. » D’après Di Melo, c’est l’autre qui aurait eu le dessous. L’album s’est écoulé à trois mille exemplaires. Il a même fallu en presser d’autres ! Mais le pire était à venir. Au début des années 90, après une soirée arrosée, il est victime d’un grave accident de moto. « Il y avait deux camions dans ma direction. Je suis tombé d’un pont. J’ai mis très longtemps à retrouver l’usage des membres de mon corps. À ce moment, la rumeur a couru que j’étais mort. Personne n’avait plus de mes nouvelles. » Disparu de la circulation, le chanteur resurgit en 1997 à travers un de ses titres présent dans la compilation de Blue note « Blue Brazil 2 ». Il raconte : « Il y a eu un mouvement de DJ en Angleterre qui ont joué mon album Di Melo. Ça a fait danser les gens qui se sont demandés : – D’où sort ce chanteur ? Que devient-il ? Certains disaient que j’étais mort, d’autres que j’étais parti du Brésil. DJ Paulao et DJ Samuca, deux DJ de Sao Paulo m’ont retrouvé à Pinheiros, le quartier de Sao Paulo où je vivais. Les Black Eyed Peas ont fait un clip au Brésil en 2010 « Don’t stop the party ». Lors d’une interview, on a demandé à Will I Am les artistes brésiliens qu’il aimait. Il m’a cité moi, et Jorge Ben. On voit Jorge Ben dans leur clip mais je n’ai pas été contacté pour y figurer. On aperçoit juste mon disque. Si ça se trouve, ils pensaient aussi que j’étais mort! »
Lima, 1969. Les Far-Fen, groupe musical à vocation festive formé en 1969 par l’arrangeur et guitariste Victor « Coco » Salazar, joue en live. Cette banda reprend des titres de Ray Barreto et Tito Puente, deux colosses de la musique latine, ainsi que des morceaux jazz venus des États-Unis. Mais, loin d’être un banal groupe de reprises, les Far-Fen expérimentent, composent et réunissent d’éminents musiciens : Miguel « Chino » Figueroa, redoutable compositeur, claviériste et organiste ; l’excellent trompettiste Antonio Ginocchi, mais aussi José Cruz, Roberto Valdez ou Luis Calixto. Et la famille s’apprête à s’agrandir. Spontanément, lors d’un concert des Far-Fen, un dénommé Pacho Mejía monte sur scène avec le groupe et commence à chanter. « Coco » apprécie sa voix et lui propose d’intégrer le groupe, marquant le début d’une collaboration fructifère. Le groupe est rapidement repéré par Jaime Delgado Aparicio, gérant de l’un des labels les plus influents du pays à l’époque : Sono Radio. Il propose au groupe d’abandonner son répertoire musical constitué essentiellement de reprises et d’enregistrer un album avec des créations originales. Le groupe, nouvellement baptisé Black Sugar et influencé par Chicago ou Santana, devient rapidement l’un des pionniers d’un nouveau genre : le latin funk.Paradoxalement, la montée de Black Sugar et l’explosion des groupes de funk et rock péruviens coïncident avec l’arrivée au pouvoir d’une junte militaire suite au coup d’État de 1968. Malgré sa volonté apparente de mener le Pérou vers davantage de progrès économique et social, cette dictature nationaliste et gauchiste donne lieu à une intense répression de la musique et de la culture « yankee ». Les autorités vont même jusqu’à annuler un concert de Santana à Lima en 1971. Le « toque latino » (la touche latine) de Black Sugar apparaît donc comme un facteur déterminant pour la survie du groupe, alors que nombre de groupes de rock péruviens, tel que Traffic Sounds, disparaissent. C’est dans ces circonstances que ces pionniers du latin funk sortent leur premier album en 1971.Cet album éponyme des Black Sugar est bien plus créatif et original que ce que son titre laisse présager. Il démarre en trombe avec les morceaux phare Too Late et Viajecito. Les cuivres langoureux de l’incipit de Too Late sont interrompus par un cri furieux et Miguel « Chino » Figueroa tapotant énergiquement son piano, nous rappelant qu’ici c’est Lima, pas Detroit. La dynamique groovy et dansante de Too Late cède le pas à l’ambiance psychédélique, les paroles en espagnol et l’invitation au voyage de Viajecito. L’album reste sur sa lancée funky avec Understanding et Funky Time, dont les riffs de guitare semblent tout droit sortis d’une production de James Brown. Résolument tournées vers le monde anglo-saxon, When You’re Walking, When You Needed Someone et This Time sonnent bien plus rock que le reste de l’album, tout en sachant conserver leur saveur latine grâce à une forte présence de percussions et de cuivres. Pussycat clôture l’album en beauté en nous transportant vers un univers planant, où l’absence de voix laisse s’épanouir des harmonies très disco et la fabuleuse trompette d’Antonio Ginocchio.L’opus se vend comme des petits pains à travers l’Amérique Latine et la banda joue à guichets fermés au Pérou. Too Late arrive même en 7ème position dans les charts de Miami, et la première édition péruvienne de l’album, sortie sur le label de Jaime Delgado Aparicio, surprend avec ses remerciements écrits en anglais. Mais malgré son regard tourné vers l’extérieur et le contexte hostile dans leur pays, les Black Sugar refusent une proposition d’enregistrement d’un second opus aux US. Comme ce fut souvent le cas à l’époque, l’enregistrement de cet album était conditionné à un certain nombre de remaniements : seuls certains membres iraient chez l’Oncle Sam enregistrer l’album tandis que des backing singers (choristes) seraient introduits. Le groupe préserve son unité en résistant à cette tentation : en effet, pourquoi aller tenter sa chance aux US alors qu’il croule déjà sous les demandes ici ?Face au refus de ce projet, dont il est l’un des instigateurs, Jaime Delgado Aparicio se désintéresse et s’éloigne du groupe. A l’origine de nombreux morceaux du premier opus, son absence de l’album suivant – Black Sugar II – est tangible. Moins groovy que son prédecesseur, Black Sugar II présente néanmoins une sélection éclectique de compositions originales qui préservent la saveur funky et chaleureuse du premier album.Le délitement du groupe s’accélère en 1976 avec le départ de Hermes Landa, manager et tête pensante logistico-financière du groupe dès ses premières heures. Ce départ, alourdi par le contexte de plus en plus pesant et répressif de la dictature sonne le glas de l’heure de gloire des Black Sugar.😢
Le 1er album eponyme de Kurtis Blow sorti le 29 septembre 1980.Cet opus comprend le tube "The Breaks" qui a été samplé de très nombreuses reprises, notamment par KRS-One (MC's Act Like They Don't Know), Timbaland (Boardmeeting), De La Soul (Brakes), The Notorious B.I.G. (Stop the Breaks), Ice Cube (You Can Do It) ou encore Common (Breaker 1/9).Kurtis Blow, de son vrai nom Kurtis Walker, né le 9 août 1959 à Harlem, New York. Il est le premier rappeur ayant atteint le succès et le premier à avoir signé chez une major (Mercury). L e single "The Breaks" est la première chanson hip-hop certifié disque d'or par la RIAA1.
Deep Funk Instrumental side B